bojangles bourdeaut

A lire: En attendant Bojangles d’Olivier Bourdeaut

Prendre du temps pour soi en lisant En attendant Bojangles.

Aussi loin que je me le rappelle, j’ai toujours lu et adoré lire.

Lorsque je travaillais dans Paris, la lecture était l’indispensable coupure entre mon bureau et la maison, un moment personnel, au milieu de la foule du métro, avant de changer de casquette et de prendre celle de maman ou de consultant.

Depuis que je travaille à la maison, plus de coupure forcée: soit je travaille à développer mon entreprise, soit je fais mon travail de maman.

Difficile de se poser dans un fauteuil et lire chaque jour, je m’efforce de le faire le weekend.

Et comme je n’ai plus le temps de traîner dans les rayons des librairies comme je le faisais sur ma pause déjeuner (que de livres achetés au Virgin Megastore des Champs Elysées!), je relis ma bibliothèque très fournie.

Pour sa sortie aux Editions Folio, j’ai reçu le livre “En attendant Bojangles” d’Olivier Bourdeaut. Un livre comme je les aime qui, dès la première page, m’a captivée et emportée dans son univers de fantaisie et de poésie.

Je l’ai lu rapidement, avec avidité et bonheur, et mais avant d’écrire à son sujet, j’avais besoin de pouvoir le relire, de le savourer au calme, loin du rythme trépidant de la routine scolaire et des interruptions enfantines.

olivier bourdeaut folio

“En attendant Bojangles” c’est une histoire d’amour loin des romans faciles qui fleurissent sur les étals pour les vacances.

Un amour fou dont les personnages sont aussi étonnants qu’attachants, une passion dévorante que l’on suit avec enthousiasme dans le tourbillon de la vie grâce à l’écriture d’Olivier Bourdeaut.

Ce livre fait partie de ceux qu’on a autant envie de finir vite pour connaître le dénouement que de laisser traîner pour faire durer le voyage en compagnie de ces personnages fantasques, qui ne sont pas sans rappeler ceux de Boris Vian.

Peut de livres pour adultes sur ce blog, mais vous pouvez aussi découvrir le témoignage poignant d’une jeune femme en camp de concentration.

Pendant quelques jours, on s’imagine encore un verre à la main dansant sur Nina Simone, et à chaque cri insolite on croit entendre Mademoiselle…

Ce livre va faire partie de ceux que je vais lire et relire. Merci pour ce voyage poétique Oliver Bourdeaut!

Cela n’a évidemment rien à voir avec la qualité du livre mais je trouve la couverture particulièrement réussie et appropriée!

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